Recherche ethnovisuelle initiée par Cécile Cuny avec le soutien de l'Agence Nationale de la Recherche

La logistique fait partie de notre quotidien. Elle est présente derrière chaque étagère de supermarché, elle est impliquée à chaque clic de souris validant le panier d’un site d’achat en ligne, elle se matérialise dans les millions de colis livrés chaque jour aux portes des particuliers et des entreprises. Elle représente 13 % des emplois ouvriers en France, 17 % en Allemagne.
Le travail photographique présenté repose sur une enquête qui a associé photographes et sociologues sur quatre sites français et allemands. Durant trois ans l’équipe a observé les zones d’activité logistique, puis rencontré les ouvrières et ouvriers des entrepôts sur leurs lieu de travail et dans leur vie quotidienne.

Parcours scénographié par les personnes rencontrées dans différents lieux de leur choix, chaque itinéraire déroule le récit d’une vie, avec ses non-dits, ses silences, ses oublis. Hortense Soichet porte son attention sur le contexte de l’itinéraire afin de montrer comment les personnes constituent le paysage dans lequel elles vivent.

On n'est pas des robots - Les itinéraires

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  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    Maximillien a 28 ans. Titulaire d’un Bac Pro Logistique réalisé en alternance, il a ensuite enchainé les expériences en interim’ durant plusieurs années dans les zones industrielles et logistiques du nord et de l’est francilien. Après avoir repris des études supérieures en province, jusqu’au Master, il est revenu travailler dans la logistique, en attendant de passer des concours dans la Fonction publique. Il vit chez ses parents en Seine-et-Marne, région où il a grandit. Père d’un petit garçon, sa compagne et lui attendent des jours meilleurs pour s’installer ensemble.       
    "À Noël de la première année, après mon Bac, je savais bien que ce n’était pas mon truc et je ne me voyais pas finir là-dedans. 15 ans après, j’y suis toujours, mais c’est un peu la facilité : c’est un métier où le mec il n’a pas de diplôme et il ne sait pas écrire, il peut le faire. J’ai fait une Licence de Géo après, financé en partie avec ses années de chômage, poursuivi sur un master à Montpellier."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    Maximillien a 28 ans. Titulaire d’un Bac Pro Logistique réalisé en alternance, il a ensuite enchainé les expériences en interim’ durant plusieurs années dans les zones industrielles et logistiques du nord et de l’est francilien. Après avoir repris des études supérieures en province, jusqu’au Master, il est revenu travailler dans la logistique, en attendant de passer des concours dans la Fonction publique. Il vit chez ses parents en Seine-et-Marne, région où il a grandit. Père d’un petit garçon, sa compagne et lui attendent des jours meilleurs pour s’installer ensemble.       
    "À Noël de la première année, après mon Bac, je savais bien que ce n’était pas mon truc et je ne me voyais pas finir là-dedans. 15 ans après, j’y suis toujours, mais c’est un peu la facilité : c’est un métier où le mec il n’a pas de diplôme et il ne sait pas écrire, il peut le faire. J’ai fait une Licence de Géo après, financé en partie avec ses années de chômage, poursuivi sur un master à Montpellier."
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    Maximillien a 28 ans. Titulaire d’un Bac Pro Logistique réalisé en alternance, il a ensuite enchainé les expériences en interim’ durant plusieurs années dans les zones industrielles et logistiques du nord et de l’est francilien. Après avoir repris des études supérieures en province, jusqu’au Master, il est revenu travailler dans la logistique, en attendant de passer des concours dans la Fonction publique. Il vit chez ses parents en Seine-et-Marne, région où il a grandit. Père d’un petit garçon, sa compagne et lui attendent des jours meilleurs pour s’installer ensemble.       
    "À Noël de la première année, après mon Bac, je savais bien que ce n’était pas mon truc et je ne me voyais pas finir là-dedans. 15 ans après, j’y suis toujours, mais c’est un peu la facilité : c’est un métier où le mec il n’a pas de diplôme et il ne sait pas écrire, il peut le faire. J’ai fait une Licence de Géo après, financé en partie avec ses années de chômage, poursuivi sur un master à Montpellier."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    Maximillien a 28 ans. Titulaire d’un Bac Pro Logistique réalisé en alternance, il a ensuite enchainé les expériences en interim’ durant plusieurs années dans les zones industrielles et logistiques du nord et de l’est francilien. Après avoir repris des études supérieures en province, jusqu’au Master, il est revenu travailler dans la logistique, en attendant de passer des concours dans la Fonction publique. Il vit chez ses parents en Seine-et-Marne, région où il a grandit. Père d’un petit garçon, sa compagne et lui attendent des jours meilleurs pour s’installer ensemble.       
    "À Noël de la première année, après mon Bac, je savais bien que ce n’était pas mon truc et je ne me voyais pas finir là-dedans. 15 ans après, j’y suis toujours, mais c’est un peu la facilité : c’est un métier où le mec il n’a pas de diplôme et il ne sait pas écrire, il peut le faire. J’ai fait une Licence de Géo après, financé en partie avec ses années de chômage, poursuivi sur un master à Montpellier."
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    Maximillien a 28 ans. Titulaire d’un Bac Pro Logistique réalisé en alternance, il a ensuite enchainé les expériences en interim’ durant plusieurs années dans les zones industrielles et logistiques du nord et de l’est francilien. Après avoir repris des études supérieures en province, jusqu’au Master, il est revenu travailler dans la logistique, en attendant de passer des concours dans la Fonction publique. Il vit chez ses parents en Seine-et-Marne, région où il a grandit. Père d’un petit garçon, sa compagne et lui attendent des jours meilleurs pour s’installer ensemble.       
    "À Noël de la première année, après mon Bac, je savais bien que ce n’était pas mon truc et je ne me voyais pas finir là-dedans. 15 ans après, j’y suis toujours, mais c’est un peu la facilité : c’est un métier où le mec il n’a pas de diplôme et il ne sait pas écrire, il peut le faire. J’ai fait une Licence de Géo après, financé en partie avec ses années de chômage, poursuivi sur un master à Montpellier."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    Maximillien a 28 ans. Titulaire d’un Bac Pro Logistique réalisé en alternance, il a ensuite enchainé les expériences en interim’ durant plusieurs années dans les zones industrielles et logistiques du nord et de l’est francilien. Après avoir repris des études supérieures en province, jusqu’au Master, il est revenu travailler dans la logistique, en attendant de passer des concours dans la Fonction publique. Il vit chez ses parents en Seine-et-Marne, région où il a grandit. Père d’un petit garçon, sa compagne et lui attendent des jours meilleurs pour s’installer ensemble.       
    "À Noël de la première année, après mon Bac, je savais bien que ce n’était pas mon truc et je ne me voyais pas finir là-dedans. 15 ans après, j’y suis toujours, mais c’est un peu la facilité : c’est un métier où le mec il n’a pas de diplôme et il ne sait pas écrire, il peut le faire. J’ai fait une Licence de Géo après, financé en partie avec ses années de chômage, poursuivi sur un master à Montpellier."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    A 50 ans, Olivier travaille depuis une dizaine d’années dans l’entrepôt du « Grand Magasin ». Comme beaucoup de ses collègues, il explique être arrivé dans la logistique « par hasard », une façon de dire qu’il ne l’a pas vraiment choisi mais qu’il fait avec. Grâce à La Poste, Olivier et sa conjointe ont pu obtenir un logement dans la banlieue Est de Paris, à proximité du RER A, dans une zone géographique où les loyers sont assez élevés. Avec leurs deux enfants, ils résident à proximité d’un grand parc où ils se baladent régulièrement et où Olivier pratique le ping-pong ou la pétanque avec des connaissances du voisinage.
    "J’ai fait tellement de choses. J’ai fait le tour des emplois où il faut pas s’éterniser. Ça fait 10 ans que je travaille au Grand Magasin, mais j’habite juste à côté, sinon ça ferait longtemps que je serai parti, je serais pas rester là. Des boulots comme ça j’en trouve partout et même je trouverais mieux, mais bon voilà. Moi j’arrive à un certain âge, je suis cassé de partout avec mon boulot."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    A 50 ans, Olivier travaille depuis une dizaine d’années dans l’entrepôt du « Grand Magasin ». Comme beaucoup de ses collègues, il explique être arrivé dans la logistique « par hasard », une façon de dire qu’il ne l’a pas vraiment choisi mais qu’il fait avec. Grâce à La Poste, Olivier et sa conjointe ont pu obtenir un logement dans la banlieue Est de Paris, à proximité du RER A, dans une zone géographique où les loyers sont assez élevés. Avec leurs deux enfants, ils résident à proximité d’un grand parc où ils se baladent régulièrement et où Olivier pratique le ping-pong ou la pétanque avec des connaissances du voisinage.
    "J’ai fait tellement de choses. J’ai fait le tour des emplois où il faut pas s’éterniser. Ça fait 10 ans que je travaille au Grand Magasin, mais j’habite juste à côté, sinon ça ferait longtemps que je serai parti, je serais pas rester là. Des boulots comme ça j’en trouve partout et même je trouverais mieux, mais bon voilà. Moi j’arrive à un certain âge, je suis cassé de partout avec mon boulot."
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    A 50 ans, Olivier travaille depuis une dizaine d’années dans l’entrepôt du « Grand Magasin ». Comme beaucoup de ses collègues, il explique être arrivé dans la logistique « par hasard », une façon de dire qu’il ne l’a pas vraiment choisi mais qu’il fait avec. Grâce à La Poste, Olivier et sa conjointe ont pu obtenir un logement dans la banlieue Est de Paris, à proximité du RER A, dans une zone géographique où les loyers sont assez élevés. Avec leurs deux enfants, ils résident à proximité d’un grand parc où ils se baladent régulièrement et où Olivier pratique le ping-pong ou la pétanque avec des connaissances du voisinage.
    "J’ai fait tellement de choses. J’ai fait le tour des emplois où il faut pas s’éterniser. Ça fait 10 ans que je travaille au Grand Magasin, mais j’habite juste à côté, sinon ça ferait longtemps que je serai parti, je serais pas rester là. Des boulots comme ça j’en trouve partout et même je trouverais mieux, mais bon voilà. Moi j’arrive à un certain âge, je suis cassé de partout avec mon boulot."
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    A 50 ans, Olivier travaille depuis une dizaine d’années dans l’entrepôt du « Grand Magasin ». Comme beaucoup de ses collègues, il explique être arrivé dans la logistique « par hasard », une façon de dire qu’il ne l’a pas vraiment choisi mais qu’il fait avec. Grâce à La Poste, Olivier et sa conjointe ont pu obtenir un logement dans la banlieue Est de Paris, à proximité du RER A, dans une zone géographique où les loyers sont assez élevés. Avec leurs deux enfants, ils résident à proximité d’un grand parc où ils se baladent régulièrement et où Olivier pratique le ping-pong ou la pétanque avec des connaissances du voisinage.
    "J’ai fait tellement de choses. J’ai fait le tour des emplois où il faut pas s’éterniser. Ça fait 10 ans que je travaille au Grand Magasin, mais j’habite juste à côté, sinon ça ferait longtemps que je serai parti, je serais pas rester là. Des boulots comme ça j’en trouve partout et même je trouverais mieux, mais bon voilà. Moi j’arrive à un certain âge, je suis cassé de partout avec mon boulot."
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    A 50 ans, Olivier travaille depuis une dizaine d’années dans l’entrepôt du « Grand Magasin ». Comme beaucoup de ses collègues, il explique être arrivé dans la logistique « par hasard », une façon de dire qu’il ne l’a pas vraiment choisi mais qu’il fait avec. Grâce à La Poste, Olivier et sa conjointe ont pu obtenir un logement dans la banlieue Est de Paris, à proximité du RER A, dans une zone géographique où les loyers sont assez élevés. Avec leurs deux enfants, ils résident à proximité d’un grand parc où ils se baladent régulièrement et où Olivier pratique le ping-pong ou la pétanque avec des connaissances du voisinage.
    "J’ai fait tellement de choses. J’ai fait le tour des emplois où il faut pas s’éterniser. Ça fait 10 ans que je travaille au Grand Magasin, mais j’habite juste à côté, sinon ça ferait longtemps que je serai parti, je serais pas rester là. Des boulots comme ça j’en trouve partout et même je trouverais mieux, mais bon voilà. Moi j’arrive à un certain âge, je suis cassé de partout avec mon boulot."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    A 50 ans, Olivier travaille depuis une dizaine d’années dans l’entrepôt du « Grand Magasin ». Comme beaucoup de ses collègues, il explique être arrivé dans la logistique « par hasard », une façon de dire qu’il ne l’a pas vraiment choisi mais qu’il fait avec. Grâce à La Poste, Olivier et sa conjointe ont pu obtenir un logement dans la banlieue Est de Paris, à proximité du RER A, dans une zone géographique où les loyers sont assez élevés. Avec leurs deux enfants, ils résident à proximité d’un grand parc où ils se baladent régulièrement et où Olivier pratique le ping-pong ou la pétanque avec des connaissances du voisinage.
    "J’ai fait tellement de choses. J’ai fait le tour des emplois où il faut pas s’éterniser. Ça fait 10 ans que je travaille au Grand Magasin, mais j’habite juste à côté, sinon ça ferait longtemps que je serai parti, je serais pas rester là. Des boulots comme ça j’en trouve partout et même je trouverais mieux, mais bon voilà. Moi j’arrive à un certain âge, je suis cassé de partout avec mon boulot."
  • Avec Cécile Cuny
    Didier a 49 ans, il a débuté à l’âge de 16 ans comme manutentionnaire dans la logistique. Il est arrivé en 2014 dans le cadre d’un « Plan de Sauvegarde de l’Emploi – PSE » dans l’entrepôt du Grand Magasin à Marne-la-Vallée. Il a grandi à Maisons-Alfort, qu’il n’a jamais quitté.
    "J’ai commencé dans les années 1988, 1990. J’ai commencé par le Grand Magasin, alors je suis rentré au mois de septembre, j’ai eu un contrat d’embauche. D’entrée. J’suis rentré comme coursier, mais c’était plus du chauffeur-livreur que coursier. Donc j’suis rentré dedans, c’est le hasard. […] J’ai commencé dedans sans penser à faire une grande carrière. Donc j’suis rentré au Grand Magasin et puis maintenant, ça fait plus de 30 ans que j’y suis."
  • Avec Cécile Cuny
    Didier a 49 ans, il a débuté à l’âge de 16 ans comme manutentionnaire dans la logistique. Il est arrivé en 2014 dans le cadre d’un « Plan de Sauvegarde de l’Emploi – PSE » dans l’entrepôt du Grand Magasin à Marne-la-Vallée. Il a grandi à Maisons-Alfort, qu’il n’a jamais quitté.
    "J’ai commencé dans les années 1988, 1990. J’ai commencé par le Grand Magasin, alors je suis rentré au mois de septembre, j’ai eu un contrat d’embauche. D’entrée. J’suis rentré comme coursier, mais c’était plus du chauffeur-livreur que coursier. Donc j’suis rentré dedans, c’est le hasard. […] J’ai commencé dedans sans penser à faire une grande carrière. Donc j’suis rentré au Grand Magasin et puis maintenant, ça fait plus de 30 ans que j’y suis."
  • Avec Cécile Cuny
    Didier a 49 ans, il a débuté à l’âge de 16 ans comme manutentionnaire dans la logistique. Il est arrivé en 2014 dans le cadre d’un « Plan de Sauvegarde de l’Emploi – PSE » dans l’entrepôt du Grand Magasin à Marne-la-Vallée. Il a grandi à Maisons-Alfort, qu’il n’a jamais quitté.
    "J’ai commencé dans les années 1988, 1990. J’ai commencé par le Grand Magasin, alors je suis rentré au mois de septembre, j’ai eu un contrat d’embauche. D’entrée. J’suis rentré comme coursier, mais c’était plus du chauffeur-livreur que coursier. Donc j’suis rentré dedans, c’est le hasard. […] J’ai commencé dedans sans penser à faire une grande carrière. Donc j’suis rentré au Grand Magasin et puis maintenant, ça fait plus de 30 ans que j’y suis."
  • Avec Cécile Cuny
    Didier a 49 ans, il a débuté à l’âge de 16 ans comme manutentionnaire dans la logistique. Il est arrivé en 2014 dans le cadre d’un « Plan de Sauvegarde de l’Emploi – PSE » dans l’entrepôt du Grand Magasin à Marne-la-Vallée. Il a grandi à Maisons-Alfort, qu’il n’a jamais quitté.
    "J’ai commencé dans les années 1988, 1990. J’ai commencé par le Grand Magasin, alors je suis rentré au mois de septembre, j’ai eu un contrat d’embauche. D’entrée. J’suis rentré comme coursier, mais c’était plus du chauffeur-livreur que coursier. Donc j’suis rentré dedans, c’est le hasard. […] J’ai commencé dedans sans penser à faire une grande carrière. Donc j’suis rentré au Grand Magasin et puis maintenant, ça fait plus de 30 ans que j’y suis."
  • Avec Cécile Cuny
    Didier a 49 ans, il a débuté à l’âge de 16 ans comme manutentionnaire dans la logistique. Il est arrivé en 2014 dans le cadre d’un « Plan de Sauvegarde de l’Emploi – PSE » dans l’entrepôt du Grand Magasin à Marne-la-Vallée. Il a grandi à Maisons-Alfort, qu’il n’a jamais quitté.
    "J’ai commencé dans les années 1988, 1990. J’ai commencé par le Grand Magasin, alors je suis rentré au mois de septembre, j’ai eu un contrat d’embauche. D’entrée. J’suis rentré comme coursier, mais c’était plus du chauffeur-livreur que coursier. Donc j’suis rentré dedans, c’est le hasard. […] J’ai commencé dedans sans penser à faire une grande carrière. Donc j’suis rentré au Grand Magasin et puis maintenant, ça fait plus de 30 ans que j’y suis."
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    Didier a 49 ans, il a débuté à l’âge de 16 ans comme manutentionnaire dans la logistique. Il est arrivé en 2014 dans le cadre d’un « Plan de Sauvegarde de l’Emploi – PSE » dans l’entrepôt du Grand Magasin à Marne-la-Vallée. Il a grandi à Maisons-Alfort, qu’il n’a jamais quitté.
    "J’ai commencé dans les années 1988, 1990. J’ai commencé par le Grand Magasin, alors je suis rentré au mois de septembre, j’ai eu un contrat d’embauche. D’entrée. J’suis rentré comme coursier, mais c’était plus du chauffeur-livreur que coursier. Donc j’suis rentré dedans, c’est le hasard. […] J’ai commencé dedans sans penser à faire une grande carrière. Donc j’suis rentré au Grand Magasin et puis maintenant, ça fait plus de 30 ans que j’y suis."
  • Avec Cécile Cuny
    Sylvie a 53 ans. Depuis 2010, elle est préparatrice de commandes en CDI dans l’entrepôt du Grand Magasin. Auparavant, elle avait déjà travaillé une dizaine d’années comme préparatrice de commandes dans un entrepôt logistique à Santeny, où débute son itinéraire. Depuis 1992, elle habite dans une maison, achetée avec son mari en face de celle de ses parents, dans le petit village où elle a grandi, situé à une vingtaine de minutes en voiture des entrepôts logistiques de Marne-la-Vallée.
    "Santeny, ça m’a donné un plus par rapport à ce que je connaissais avant, parce que c’est là [HS1] que bon, on va pas dire que j’ai tout appris de la logistique, mais c’était aussi des choses qui étaient agréables à apprendre, à connaître. Mais j’ai pas regretté d’avoir pris cette décision de dire : j’arrête là. Déjà, parce que j’ai réussi à bien m’adapter au Grand Magasin, à travailler différemment. J’avais envie d’apprendre et puis, j’aime bien gérer un peu mon travail toute seule."
  • Avec Cécile Cuny
    Sylvie a 53 ans. Depuis 2010, elle est préparatrice de commandes en CDI dans l’entrepôt du Grand Magasin. Auparavant, elle avait déjà travaillé une dizaine d’années comme préparatrice de commandes dans un entrepôt logistique à Santeny, où débute son itinéraire. Depuis 1992, elle habite dans une maison, achetée avec son mari en face de celle de ses parents, dans le petit village où elle a grandi, situé à une vingtaine de minutes en voiture des entrepôts logistiques de Marne-la-Vallée.
    "Santeny, ça m’a donné un plus par rapport à ce que je connaissais avant, parce que c’est là [HS1] que bon, on va pas dire que j’ai tout appris de la logistique, mais c’était aussi des choses qui étaient agréables à apprendre, à connaître. Mais j’ai pas regretté d’avoir pris cette décision de dire : j’arrête là. Déjà, parce que j’ai réussi à bien m’adapter au Grand Magasin, à travailler différemment. J’avais envie d’apprendre et puis, j’aime bien gérer un peu mon travail toute seule."
  • Avec Cécile Cuny
    Sylvie a 53 ans. Depuis 2010, elle est préparatrice de commandes en CDI dans l’entrepôt du Grand Magasin. Auparavant, elle avait déjà travaillé une dizaine d’années comme préparatrice de commandes dans un entrepôt logistique à Santeny, où débute son itinéraire. Depuis 1992, elle habite dans une maison, achetée avec son mari en face de celle de ses parents, dans le petit village où elle a grandi, situé à une vingtaine de minutes en voiture des entrepôts logistiques de Marne-la-Vallée.
    "Santeny, ça m’a donné un plus par rapport à ce que je connaissais avant, parce que c’est là [HS1] que bon, on va pas dire que j’ai tout appris de la logistique, mais c’était aussi des choses qui étaient agréables à apprendre, à connaître. Mais j’ai pas regretté d’avoir pris cette décision de dire : j’arrête là. Déjà, parce que j’ai réussi à bien m’adapter au Grand Magasin, à travailler différemment. J’avais envie d’apprendre et puis, j’aime bien gérer un peu mon travail toute seule."
  • Avec Cécile Cuny
    Sylvie a 53 ans. Depuis 2010, elle est préparatrice de commandes en CDI dans l’entrepôt du Grand Magasin. Auparavant, elle avait déjà travaillé une dizaine d’années comme préparatrice de commandes dans un entrepôt logistique à Santeny, où débute son itinéraire. Depuis 1992, elle habite dans une maison, achetée avec son mari en face de celle de ses parents, dans le petit village où elle a grandi, situé à une vingtaine de minutes en voiture des entrepôts logistiques de Marne-la-Vallée.
    "Santeny, ça m’a donné un plus par rapport à ce que je connaissais avant, parce que c’est là [HS1] que bon, on va pas dire que j’ai tout appris de la logistique, mais c’était aussi des choses qui étaient agréables à apprendre, à connaître. Mais j’ai pas regretté d’avoir pris cette décision de dire : j’arrête là. Déjà, parce que j’ai réussi à bien m’adapter au Grand Magasin, à travailler différemment. J’avais envie d’apprendre et puis, j’aime bien gérer un peu mon travail toute seule."
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    Sylvie a 53 ans. Depuis 2010, elle est préparatrice de commandes en CDI dans l’entrepôt du Grand Magasin. Auparavant, elle avait déjà travaillé une dizaine d’années comme préparatrice de commandes dans un entrepôt logistique à Santeny, où débute son itinéraire. Depuis 1992, elle habite dans une maison, achetée avec son mari en face de celle de ses parents, dans le petit village où elle a grandi, situé à une vingtaine de minutes en voiture des entrepôts logistiques de Marne-la-Vallée.
    "Santeny, ça m’a donné un plus par rapport à ce que je connaissais avant, parce que c’est là [HS1] que bon, on va pas dire que j’ai tout appris de la logistique, mais c’était aussi des choses qui étaient agréables à apprendre, à connaître. Mais j’ai pas regretté d’avoir pris cette décision de dire : j’arrête là. Déjà, parce que j’ai réussi à bien m’adapter au Grand Magasin, à travailler différemment. J’avais envie d’apprendre et puis, j’aime bien gérer un peu mon travail toute seule."
  • Avec Cécile Cuny
    Sylvie a 53 ans. Depuis 2010, elle est préparatrice de commandes en CDI dans l’entrepôt du Grand Magasin. Auparavant, elle avait déjà travaillé une dizaine d’années comme préparatrice de commandes dans un entrepôt logistique à Santeny, où débute son itinéraire. Depuis 1992, elle habite dans une maison, achetée avec son mari en face de celle de ses parents, dans le petit village où elle a grandi, situé à une vingtaine de minutes en voiture des entrepôts logistiques de Marne-la-Vallée.
    "Santeny, ça m’a donné un plus par rapport à ce que je connaissais avant, parce que c’est là [HS1] que bon, on va pas dire que j’ai tout appris de la logistique, mais c’était aussi des choses qui étaient agréables à apprendre, à connaître. Mais j’ai pas regretté d’avoir pris cette décision de dire : j’arrête là. Déjà, parce que j’ai réussi à bien m’adapter au Grand Magasin, à travailler différemment. J’avais envie d’apprendre et puis, j’aime bien gérer un peu mon travail toute seule."
  • Avec Gwendal Simon
    Weheb a 48 ans. Il a d’abord débuté dans l’imprimerie, à 20 ans. Après quelques années difficiles, il a été embauché chez Prestalog, où il est préparateur de commandes depuis 14 ans. De parents algériens, il est né et a grandi à Orléans, et il vit aujourd’hui à Sarran, au nord de l’agglomération, à proximité de la zone logistique.
    Maintenant c’estPrestalog, parce que ça fait un petit moment que je suis là. Ils recrutaient, mais eux ils faisaient des contrats de suite. Et Brico Dépôt, qui venait d’ouvrir, eux aussi ils voulaient me recruter. Mais comme Prestalog m’a mis le grappin dessus le premier, je suis resté ici. Pas par envie, pas par plaisir, mais par besoin de nourrir sa famille quoi, tout simplement, parce qu’à la base moi j’attendais quoi d’eux...  c’est d’essayer d’améliorer mon statut professionnel dans l’entreprise même.
  • Avec Gwendal Simon
    Weheb a 48 ans. Il a d’abord débuté dans l’imprimerie, à 20 ans. Après quelques années difficiles, il a été embauché chez Prestalog, où il est préparateur de commandes depuis 14 ans. De parents algériens, il est né et a grandi à Orléans, et il vit aujourd’hui à Sarran, au nord de l’agglomération, à proximité de la zone logistique.
    Maintenant c’estPrestalog, parce que ça fait un petit moment que je suis là. Ils recrutaient, mais eux ils faisaient des contrats de suite. Et Brico Dépôt, qui venait d’ouvrir, eux aussi ils voulaient me recruter. Mais comme Prestalog m’a mis le grappin dessus le premier, je suis resté ici. Pas par envie, pas par plaisir, mais par besoin de nourrir sa famille quoi, tout simplement, parce qu’à la base moi j’attendais quoi d’eux...  c’est d’essayer d’améliorer mon statut professionnel dans l’entreprise même.
  • Avec Gwendal Simon
    Weheb a 48 ans. Il a d’abord débuté dans l’imprimerie, à 20 ans. Après quelques années difficiles, il a été embauché chez Prestalog, où il est préparateur de commandes depuis 14 ans. De parents algériens, il est né et a grandi à Orléans, et il vit aujourd’hui à Sarran, au nord de l’agglomération, à proximité de la zone logistique.
    "Maintenant c’estPrestalog, parce que ça fait un petit moment que je suis là. Ils recrutaient, mais eux ils faisaient des contrats de suite. Et Brico Dépôt, qui venait d’ouvrir, eux aussi ils voulaient me recruter. Mais comme Prestalog m’a mis le grappin dessus le premier, je suis resté ici. Pas par envie, pas par plaisir, mais par besoin de nourrir sa famille quoi, tout simplement, parce qu’à la base moi j’attendais quoi d’eux...  c’est d’essayer d’améliorer mon statut professionnel dans l’entreprise même."
  • Avec Gwendal Simon
    Weheb a 48 ans. Il a d’abord débuté dans l’imprimerie, à 20 ans. Après quelques années difficiles, il a été embauché chez Prestalog, où il est préparateur de commandes depuis 14 ans. De parents algériens, il est né et a grandi à Orléans, et il vit aujourd’hui à Sarran, au nord de l’agglomération, à proximité de la zone logistique.
    "Maintenant c’estPrestalog, parce que ça fait un petit moment que je suis là. Ils recrutaient, mais eux ils faisaient des contrats de suite. Et Brico Dépôt, qui venait d’ouvrir, eux aussi ils voulaient me recruter. Mais comme Prestalog m’a mis le grappin dessus le premier, je suis resté ici. Pas par envie, pas par plaisir, mais par besoin de nourrir sa famille quoi, tout simplement, parce qu’à la base moi j’attendais quoi d’eux...  c’est d’essayer d’améliorer mon statut professionnel dans l’entreprise même."
  • Avec Gwendal Simon
    Weheb a 48 ans. Il a d’abord débuté dans l’imprimerie, à 20 ans. Après quelques années difficiles, il a été embauché chez Prestalog, où il est préparateur de commandes depuis 14 ans. De parents algériens, il est né et a grandi à Orléans, et il vit aujourd’hui à Sarran, au nord de l’agglomération, à proximité de la zone logistique.
    "Maintenant c’estPrestalog, parce que ça fait un petit moment que je suis là. Ils recrutaient, mais eux ils faisaient des contrats de suite. Et Brico Dépôt, qui venait d’ouvrir, eux aussi ils voulaient me recruter. Mais comme Prestalog m’a mis le grappin dessus le premier, je suis resté ici. Pas par envie, pas par plaisir, mais par besoin de nourrir sa famille quoi, tout simplement, parce qu’à la base moi j’attendais quoi d’eux...  c’est d’essayer d’améliorer mon statut professionnel dans l’entreprise même."
  • Avec Gwendal Simon
    Weheb a 48 ans. Il a d’abord débuté dans l’imprimerie, à 20 ans. Après quelques années difficiles, il a été embauché chez Prestalog, où il est préparateur de commandes depuis 14 ans. De parents algériens, il est né et a grandi à Orléans, et il vit aujourd’hui à Sarran, au nord de l’agglomération, à proximité de la zone logistique.
    "Maintenant c’estPrestalog, parce que ça fait un petit moment que je suis là. Ils recrutaient, mais eux ils faisaient des contrats de suite. Et Brico Dépôt, qui venait d’ouvrir, eux aussi ils voulaient me recruter. Mais comme Prestalog m’a mis le grappin dessus le premier, je suis resté ici. Pas par envie, pas par plaisir, mais par besoin de nourrir sa famille quoi, tout simplement, parce qu’à la base moi j’attendais quoi d’eux...  c’est d’essayer d’améliorer mon statut professionnel dans l’entreprise même."
  • Avec Cécile Cuny
    Manuella a 32 ans. Elle est intérimaire depuis 2015 dans la logistique. Elle a effectué une mission de 3 mois dans l’entrepôt du Grand Magasin et travaille désormais dans un entrepôt à Trappes. Elle habite dans un logement social à Saint-Germain-en-Laye, obtenu par le biais du 1 % logement auquel cotisait son agence d’intérim à Marne-la-Vallée.
    "Je suis née en Centrafrique. Je suis arrivée en France à l'âge de 17 ans, en 2002. Après mon Bac, je cherchais une école de commerce, pour pouvoir venir sur Paris, et j'avais trouvé mon école de commerce dans le 92. J'ai pas pu valider mon BTS Banque, donc ma première mission c'était de faire des inventaires dans les magasins."
  • Avec Cécile Cuny
    Manuella a 32 ans. Elle est intérimaire depuis 2015 dans la logistique. Elle a effectué une mission de 3 mois dans l’entrepôt du Grand Magasin et travaille désormais dans un entrepôt à Trappes. Elle habite dans un logement social à Saint-Germain-en-Laye, obtenu par le biais du 1 % logement auquel cotisait son agence d’intérim à Marne-la-Vallée.
    "Je suis née en Centrafrique. Je suis arrivée en France à l'âge de 17 ans, en 2002. Après mon Bac, je cherchais une école de commerce, pour pouvoir venir sur Paris, et j'avais trouvé mon école de commerce dans le 92. J'ai pas pu valider mon BTS Banque, donc ma première mission c'était de faire des inventaires dans les magasins."
  • Avec Cécile Cuny
    Manuella a 32 ans. Elle est intérimaire depuis 2015 dans la logistique. Elle a effectué une mission de 3 mois dans l’entrepôt du Grand Magasin et travaille désormais dans un entrepôt à Trappes. Elle habite dans un logement social à Saint-Germain-en-Laye, obtenu par le biais du 1 % logement auquel cotisait son agence d’intérim à Marne-la-Vallée.
    "Je suis née en Centrafrique. Je suis arrivée en France à l'âge de 17 ans, en 2002. Après mon Bac, je cherchais une école de commerce, pour pouvoir venir sur Paris, et j'avais trouvé mon école de commerce dans le 92. J'ai pas pu valider mon BTS Banque, donc ma première mission c'était de faire des inventaires dans les magasins."
  • Avec Cécile Cuny
    Manuella a 32 ans. Elle est intérimaire depuis 2015 dans la logistique. Elle a effectué une mission de 3 mois dans l’entrepôt du Grand Magasin et travaille désormais dans un entrepôt à Trappes. Elle habite dans un logement social à Saint-Germain-en-Laye, obtenu par le biais du 1 % logement auquel cotisait son agence d’intérim à Marne-la-Vallée.
    "Je suis née en Centrafrique. Je suis arrivée en France à l'âge de 17 ans, en 2002. Après mon Bac, je cherchais une école de commerce, pour pouvoir venir sur Paris, et j'avais trouvé mon école de commerce dans le 92. J'ai pas pu valider mon BTS Banque, donc ma première mission c'était de faire des inventaires dans les magasins."
  • Avec Cécile Cuny
    Manuella a 32 ans. Elle est intérimaire depuis 2015 dans la logistique. Elle a effectué une mission de 3 mois dans l’entrepôt du Grand Magasin et travaille désormais dans un entrepôt à Trappes. Elle habite dans un logement social à Saint-Germain-en-Laye, obtenu par le biais du 1 % logement auquel cotisait son agence d’intérim à Marne-la-Vallée.
    "Je suis née en Centrafrique. Je suis arrivée en France à l'âge de 17 ans, en 2002. Après mon Bac, je cherchais une école de commerce, pour pouvoir venir sur Paris, et j'avais trouvé mon école de commerce dans le 92. J'ai pas pu valider mon BTS Banque, donc ma première mission c'était de faire des inventaires dans les magasins."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    Moussa a 32 ans, il est titulaire d’un Bac Pro de peintre en bâtiment et travaille deux ans pour une entreprise de BTP avant de faire l’objet d’un licenciement économique. C’est par l’intérim qu’il découvre la logistique et effectue plusieurs missions au Grand Magasin ou dans d’autres entreprises de Marne-la-Vallée.
    "Moi, je suis du Mali. Je suis né ici. J’étais sur Paris, quand j’étais petit. Je suis arrivé à Noisy-le-Grand, j’avais 12 ans. Ça fait presque 18 ans que je suis là maintenant. Là, je pense bouger de Noisy. À Torcy, par exemple, ça me rapprocherait du Grand Magasin. À Torcy ou à Bussy. Rosny. Quelque part où je me dis c’est accessible en transport."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    Moussa a 32 ans, il est titulaire d’un Bac Pro de peintre en bâtiment et travaille deux ans pour une entreprise de BTP avant de faire l’objet d’un licenciement économique. C’est par l’intérim qu’il découvre la logistique et effectue plusieurs missions au Grand Magasin ou dans d’autres entreprises de Marne-la-Vallée.
    "Moi, je suis du Mali. Je suis né ici. J’étais sur Paris, quand j’étais petit. Je suis arrivé à Noisy-le-Grand, j’avais 12 ans. Ça fait presque 18 ans que je suis là maintenant. Là, je pense bouger de Noisy. À Torcy, par exemple, ça me rapprocherait du Grand Magasin. À Torcy ou à Bussy. Rosny. Quelque part où je me dis c’est accessible en transport."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    Moussa a 32 ans, il est titulaire d’un Bac Pro de peintre en bâtiment et travaille deux ans pour une entreprise de BTP avant de faire l’objet d’un licenciement économique. C’est par l’intérim qu’il découvre la logistique et effectue plusieurs missions au Grand Magasin ou dans d’autres entreprises de Marne-la-Vallée.
    "Moi, je suis du Mali. Je suis né ici. J’étais sur Paris, quand j’étais petit. Je suis arrivé à Noisy-le-Grand, j’avais 12 ans. Ça fait presque 18 ans que je suis là maintenant. Là, je pense bouger de Noisy. À Torcy, par exemple, ça me rapprocherait du Grand Magasin. À Torcy ou à Bussy. Rosny. Quelque part où je me dis c’est accessible en transport."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    Moussa a 32 ans, il est titulaire d’un Bac Pro de peintre en bâtiment et travaille deux ans pour une entreprise de BTP avant de faire l’objet d’un licenciement économique. C’est par l’intérim qu’il découvre la logistique et effectue plusieurs missions au Grand Magasin ou dans d’autres entreprises de Marne-la-Vallée.
    "Moi, je suis du Mali. Je suis né ici. J’étais sur Paris, quand j’étais petit. Je suis arrivé à Noisy-le-Grand, j’avais 12 ans. Ça fait presque 18 ans que je suis là maintenant. Là, je pense bouger de Noisy. À Torcy, par exemple, ça me rapprocherait du Grand Magasin. À Torcy ou à Bussy. Rosny. Quelque part où je me dis c’est accessible en transport."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    Moussa a 32 ans, il est titulaire d’un Bac Pro de peintre en bâtiment et travaille deux ans pour une entreprise de BTP avant de faire l’objet d’un licenciement économique. C’est par l’intérim qu’il découvre la logistique et effectue plusieurs missions au Grand Magasin ou dans d’autres entreprises de Marne-la-Vallée.
    "Moi, je suis du Mali. Je suis né ici. J’étais sur Paris, quand j’étais petit. Je suis arrivé à Noisy-le-Grand, j’avais 12 ans. Ça fait presque 18 ans que je suis là maintenant. Là, je pense bouger de Noisy. À Torcy, par exemple, ça me rapprocherait du Grand Magasin. À Torcy ou à Bussy. Rosny. Quelque part où je me dis c’est accessible en transport."
  • Avec Cécile Cuny et David Gaborieau
    Moussa a 32 ans, il est titulaire d’un Bac Pro de peintre en bâtiment et travaille deux ans pour une entreprise de BTP avant de faire l’objet d’un licenciement économique. C’est par l’intérim qu’il découvre la logistique et effectue plusieurs missions au Grand Magasin ou dans d’autres entreprises de Marne-la-Vallée.
    "Moi, je suis du Mali. Je suis né ici. J’étais sur Paris, quand j’étais petit. Je suis arrivé à Noisy-le-Grand, j’avais 12 ans. Ça fait presque 18 ans que je suis là maintenant. Là, je pense bouger de Noisy. À Torcy, par exemple, ça me rapprocherait du Grand Magasin. À Torcy ou à Bussy. Rosny. Quelque part où je me dis c’est accessible en transport."