En résidence de création durant 18 mois à l’invitation de la municipalité de Clichy, les photographes Maria-Letizia Piantoni et Hortense Soichet ont arpenté la ville à la rencontre des habitant·es et des lieux, en quête d’histoires et de mémoires clichoises. Elles ont mené de nombreux entretiens et photographié des gens, des espaces intérieurs et extérieurs, afin de tisser des liens entre la multiplicité des récits.
Au fil de leur enquête, une cartographie sensible a pris forme. Clichy s’est redessinée à travers les imaginaires, faisant des écart entre les époques. Des mémoires qui se déroulent, qui bifurquent, qui s’entremêlent : des lieux, des gens, des rencontres. C’est une ville vivante qui est donnée à voir, une ville spatiale et temporelle, où les lieux et la vie se confondent. Les personnes rencontrées racontent leur propre relation à la ville, leur façon de la percevoir, leur attachement au territoire et l’influence que certains lieux en particulier ont ou ont eu dans leur vie.
Guidées par la parole des gens, les photographes sont parties en quête de ces espaces, souvent disparus et à la place desquels d’autres lieux apparaissent.
Au fil de leur enquête, une cartographie sensible a pris forme. Clichy s’est redessinée à travers les imaginaires, faisant des écart entre les époques. Des mémoires qui se déroulent, qui bifurquent, qui s’entremêlent : des lieux, des gens, des rencontres. C’est une ville vivante qui est donnée à voir, une ville spatiale et temporelle, où les lieux et la vie se confondent. Les personnes rencontrées racontent leur propre relation à la ville, leur façon de la percevoir, leur attachement au territoire et l’influence que certains lieux en particulier ont ou ont eu dans leur vie.
Guidées par la parole des gens, les photographes sont parties en quête de ces espaces, souvent disparus et à la place desquels d’autres lieux apparaissent.
